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Amylee's diary

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21 février 2007

Emotionnal dilemma

Mal géré l'après-flirt...
A l'origine ce n'était pas du tout parti pour être un flirt, enfin pour moi. Moi qui croyais que les choses avaient commencé de son côté. Quelle naïve. Il a fini par me plaire en croyant que je lui plaisais. Un paquet de conneries et une naïvete d'une profondeur abyssale...
En tout état de cause, je l'ai séduit, brièvement. Il m'a invité à danser. Pourquoi moi, nous étions 4 autres filles?
Il m'a laissé dormir dans son lit. Il m'a embrassé. Il m'a peloté.
Je me suis dit à l'origine que si je n'avais pas fait tout ce blabla en essayant de lui faire croire "que je ne savais pas où j'en étais", les choses seraient plus faciles. Mais non, il a fallu que je fasse ma maligne histoire de sauver un semblant d'amour propre - tu parles! - pour pas paraître trop volage peut-être, ou trop facile? Encore qu'on n'a pas couché le premier soir, c'est déjà ça.

Je ne comprends plus. Il veut qu'on arrête et puis, pourquoi veut-il alors m'inviter à passer la soirée avec lui, me regarder comme si ce n'était pas fini, me prendre la main, m'embrasser sur la joue, et toutes ces conneries à deux francs? Essaie-t-il de faire en sorte qu'on se connaisse mieux avant d'entreprendre à nouveau quelque chose? Tâte-t-il le terrain, en gros?
Ou est-ce vraiment une façon de faire de moi une amie? Alors pourquoi m'appeler "baby" même en rigolant?

Et moi, qu'est-ce que je veux vraiment? Une relation "sexuelle"? Une relation exclusive? Quoi? Une relation sans prise de tête? Mais qu'est-ce que ça veut dire une relation sans prise de tête?

J'avais décidé qu'il fallait que je surmonte toutes mes peurs. Peur de lui, de sa vie, de ses amis, de moi, de mes réactions, de mon caractère, de mon tempérament. A travers Adrien, je me soigne...
Et je n'y arrive pas. Je voulais que cette relation sans prise de tête soit un moyen pour moi de corriger mes défauts, d'arrêter d'être une jalouse maladive, d'arrêter d'être trop engagée, d'apprendre à vivre le moment présent sans forcément penser à ce qu'il doit y avoir demain...
M'améliorer. Mais les cartes sont brouillées...
Au final, je veux toujours que les choses se passent telles que j'ai prévu qu'elles se passent et c'est ça même qu'il faut dépasser...
Je ne sais plus du tout où j'en suis. Est-ce que je veux de lui et est-ce que je suis prête à attendre qu'il veuille de moi ou de tenter de le séduire s'il ne veut pas de moi.

S'il veut de moi, est-ce que c'est vraiment ce que je souhaite?
Mes peurs et mes appréhensions ne sont-elles pas un handicap trop grand pour qu'on réussisse à vivre quelque chose tous les deux?

S'il ne veut pas de moi, est-ce que je suis capable d'attendre de me recevoir un rateau? Est-ce que je suis capable de supporter un rateau? Est-ce que je suis capable de tenter de séduire quelqu'un qui ne veut pas de moi à la base?

Mes propres sentiments me révoltent, m'agacent. Je m'en veux de ressentir ce que je ressens. Tant de sentiments contradictoires. Je m'en veux d'avoir envie de vivre quelque chose avec lui et je m'en veux de ne pas en avoir envie en y pensant très fort. Je m'en veux. Je m'en veux de ne pas savoir ce que je veux.

J'ai envie d'apprendre à le connaître, à être à son amie mais je lui en veux de ne pas vouloir de moi.

Où est-ce qu'on va? Est-ce que je dois garder mes distances ou devenir son amie?
Que dois-je faire?
Que dois-je faire?


Me revoilà plongée encore plus profondément dans l'abîme en tentant d'en sortir...

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21 février 2007

Dilemma background

Je sors d'une relation amoureuse de 18 mois. Si nous avions eu un bébé, il aurait neuf mois. Mais cela n'a aucun intérêt de le dire, pendant toute cette relation, j'ai eu peur depuis le premier jour où j'ai pris la pilule de tomber enceinte.
Epris de liberté, Sid est parti. Enfin, je m'étais déjà préparée psychologiquement, aussi, je n'ai pas considéré la rupture comme un abandon, je n'ai pas considéré qu'il m'a jeté, j'avais déjà décidé que c'était fini avant même qu'il m'annonce qu'il voulait que nous arrêtions. Pour de bon cette fois.
Petites négociations avec mon égo. Si je ne m'étais pas préparé, j'aurais pleuré pendant des jours et des jours, comme les autres fois où je pleurais 3 jours d'affilée alors même que rien n'avait été décidé.
Pendue au téléphone, le suppliant presque de continuer, de faire des efforts.

J'avais fini par penser que finalement, je ne l'aimais pas plus que ça, car j'ai eu l'impression que je m'en suis remise très vite, de cette rupture. Je commençais à me vanter en disant que j'étais forte, pour me remettre sur pied aussi rapidement de la rupture avec le seul garçon dont j'ai été véritablement amoureuse dans ma vie, le garçon qui m'a défloré, le garçon avec qui je souhaitais faire ma vie, avec qui j'avais déjà imaginé 1001 projets d'avenir.
Car un mois après, je couche avec un autre.

J'ai mal géré...

21 février 2007

Amylee

Lorsqu'on prétend à être lu, il serait honnête de se présenter un minimum. Je pourrais laisser au public le loisir de deviner...
Tant pis, la vie est faite de choix (très profond). Je choisis de me présenter un minimum.
Je m'appelle Amy, je suis une jeune fille 22 ans, je m'aime mal et je suis émotionnellement très peu stable.
J'ai pourtant une vie plutôt normale, je n'ai pas à me plaindre, enfin si...Je ne suis pas à plaindre.

Je vis en France, à Paris. A Bastille mais je profite rarement, non plutôt peu, de l'animation du quartier. Plutôt solitaire, volontairement ou non. Non pas associale mais peu socialisée...

Je suis célibataire. Au risque de paraître Bridget-Jones-ée, là est toute la question.

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